Une autopsie prévue mardi à Bordeaux déterminera “si l’enfant, de sexe masculin, est né vivant ou est mort in utero”, ce qui guidera la détermination des faits, a expliqué le substitut du procureur. “Il sera possible de déterminer si l’enfant était vivant ou non lors de la naissance”, a déclaré le procureur général à Sud Ouest. S’il était vivant, cela voudrait dire que sa mère l’a tué et que nous menons au meurtre. S’il est né mort, nous considérerons une autre qualification comme une atteinte à l’intégrité physique d’un corps. Des tests ADN sont également prévus. Comme la station ne dispose pas de télévision en circuit fermé, les enquêtes auprès des hôpitaux locaux sur une femme en état de trouble potentiel ont été infructueuses, a-t-elle déclaré.