• A lire aussi : Jeff Petry : une porte ouverte • À lire aussi : Canadien : une mauvaise chose pour être patient • À lire aussi : Canada : le contrat de St-Louis arrive bientôt “C’est frustrant, c’est toujours la même chose”, a-t-il déclaré. On ne joue pas en équipe, on ne joue pas en équipe. Il semble n’y avoir aucune structure dans la glace. » Ayant été très ambitieux pour Martin St-Louis depuis son embauche, Petry garda plus de retenue en revenant au travail de Ducharme. “Il y a eu des changements avec l’équipe cet été”, se souvient-il. Phil [Danault] en faisait partie. Perdre un joueur comme lui, avec ce qu’il avait fait pour l’équipe en séries éliminatoires, a été une grande perte. La situation était décevante, on voyait les choses un peu différemment. Je pensais que nous avions refait la même chose et obtenu les mêmes résultats. Vous voulez gagner, vous voulez réussir, mais vous n’obtenez pas de résultats. C’était frustrant pour tout le monde.
« Des ajustements étaient nécessaires. Mais je ne pense pas que quiconque était à blâmer. Il y avait beaucoup de choses. » Petri a refusé de parler d’une guerre idéologique entre lui et Dicharm. “Il n’y a pas eu de conflit personnel. J’ai fait des choses pour améliorer l’équipe et diffuser les messages que j’ai entendus. L’ambiance dans les vestiaires était pesante. » Rôle du père Loin de sa famille depuis plusieurs mois, Petry va désormais retourner dans le Michigan pour retrouver ses proches. “Je ne les ai vus que deux fois au cours des deux derniers mois. Ma femme m’a prévenu : quand tu reviens, tu reviens. Je suivrai les entraînements de baseball et de hockey. Je les laisserai à l’école. Je vais prendre le taxi. »