“Je n’ai rien ressenti, et ma meilleure amie n’a rien ressenti non plus. Je portais ces jeans plutôt épais et ils m’ont percé le mollet gauche, alors j’ai du mal à comprendre comment cela pourrait être fait. La jeune femme fait des tests sanguins, y compris la terminologie du VIH, l’hépatite B, l’hépatite.
“C’est hyper stressant”
Si tout le reste échoue, Rose devra recommencer dans trois mois pour s’assurer que l’injection ne l’a pas infectée. “C’est hyper stressant. Ça peut être une petite piqûre, une petite seringue, la plaie est bien là. Il est présent et le sera pendant des jours et des jours jusqu’à ce que nous ayons les résultats de nos tests sanguins. » Depuis début avril, une soixantaine d’incidents de ce type ont été signalés dans des boîtes de nuit, notamment à Grenoble, Nantes, Lille, Béziers, Caen, Toulouse et Rennes, mais aussi au Printemps de Bourges. Aucun des tests toxicologiques réalisés à ce jour n’a révélé la présence de médicaments. Aucune seringue n’a été retrouvée et aucun suspect n’a été retrouvé sur les lieux des caméras de surveillance. 15 plaintes, dont Rose, ont été déposées dans la seule ville de Rennes.