• A lire aussi : Poursuivie par Rozon, Pénélope McQuade contre “Ajoutant l’insulte à l’injure, [Rozon] “Il regorge de sophismes aujourd’hui largement condamnés, surtout que si la plainte n’a pas été immédiate, elle doit être fausse.” Comme la présentatrice Penelope McQuade quelques jours plus tôt, Mme Snyder nie catégoriquement avoir diffamé le magnat de l’humour déchu lors d’un spectacle de la Semaine des 4 Julie en 2019. Lors d’un entretien imprévu avec son invitée Penelope McCuad, elle a par la suite affirmé que Roson l’avait agressée sexuellement dans un appartement parisien dans les années 1990. Alors qu’elle dormait en pyjama, Roson se couchait nue afin de la violer. . “Il avait un look fou et méconnaissable”, dit-il dans le document judiciaire. Mme Snyder se serait réfugiée à pied, sur les Champs Elysées, pour ensuite se réfugier dans l’appartement de ses amis. “Il n’aurait jamais parlé au plaignant de cette attaque traumatisante, bien qu’il lui aurait conseillé de ‘se soigner’ quelques années plus tard”, indique le document judiciaire. Réputation Insistant sur le fait que les propos de l’émission étaient “légaux, vrais, nuancés et d’intérêt public”, les avocats de Mme Snyder ont ensuite rappelé qu’en 2019 il était raisonnable de conclure que Roson avait déjà une réputation de “prédateur sexuel”. Rappelant un à un tous les faits qui ont terni son image depuis les premières allégations publiques à son encontre, allant du recours collectif aux accusations criminelles où il a ensuite été acquitté sur des soupçons raisonnables, les avocats nient que Mme Snyder aurait terni la réputation de Roson déjà écornée. Pas de retrait Ces avocats reprochent également au fondateur de Juste pour rire d’avoir voulu humilier Mme Snyder en exigeant un rappel, alors que Mme McQuade et Mme Snyder devraient dire publiquement que “Gilbert Roson ne nous a jamais agressés sexuellement ni abusé du comportement”. “Non seulement il essaie de les faire taire, mais il essaie aussi de s’emparer de leur liberté d’expression afin de les forcer à trahir leur témoignage en public”, ont déclaré les avocats, qui ont rappelé que Mme Snyder s’était déjà exprimée. , sans la menace d’un procès. La société de production La Lune inc., également poursuivie par Rozon, nie également tout acte répréhensible et se plaint d’avoir dû, selon Rozon, censurer les deux animateurs.